Art shop
Achat d’œuvres d’art contemporain : Encres sur papier, peintures numériques, éditions d’œuvres originales imprimées sur Dibond en aluminium brossé.
Artiste vivant, Samuel Favarica propose à la vente certaines de ses créations avant leurs expositions en galeries.
Favarica est présenté sur Wikipédia, dans Le Delarge, dans L’Allgemeine Künstlerlexikon et dans Le Bénézit Dictionary of Artists.
Samuel Favarica
Né en France à Rouen le 5 avril 1971, d’origine portugaise, Samuel Favarica commence les expositions de son travail artistique dès 1990, il participe à diverses manifestations et expositions collectives et finit par rejoindre tout le circuit des créateurs singuliers.
Dessinant depuis toujours, il étudie en 1989 à l’École nationale supérieure des arts appliqués et des métiers d’art, l’ENSAAMA située rue Olivier de Serre à Paris, mais décide de quitter ce cursus pour se consacrer à une activité exclusive : la décoration de l’ensemble de son appartement, dont il se met à peindre mobiliers, murs et plafonds. Il entreprend alors la création de totems et bas‑reliefs à partir d’objets de récupération et recouvre de ses peintures façades et automobiles dans un embrasement de couleurs vives.
Caroline Bourbonnais l’invite en 1990 à montrer ses premières réalisations au Musée de la Fabuloserie à Dicy dans l’Yonne. En 1993, il est exposé au sein de la Collection Cérès Franco à Lagrasse puis à Montolieu dans la Coopérative‑Musée Cérès Franco, et rejoint en 1994 le Musée de la Création Franche de Bègles. Laurent Danchin, critique d’art (notamment pour les magazines d’art Raw Vision ou Artension) et essayiste spécialiste de l’Art Brut, Art Outsider et Art Singulier, présente son travail lors de l’exposition collective Art Brut et compagnie : La face cachée de l’art contemporain qui a lieu à Paris en 1995 au Musée de la Halle Saint‑Pierre.
Si la peinture acrylique est souvent employée dans ses premières créations, assemblages d’objets de récupération, sculptures en mousse expansive avec l’application de fibre de verre et de résine époxy, ou sur des toiles ornées de cadres larges et épais couverts de bas et hauts‑reliefs peints, et la peinture aérosol pour la réalisation de graffitis et de peintures murales en extérieur, Favarica travaille aujourd’hui essentiellement à l’encre sur papier.
Outre les techniques de l’encre de Chine et de l’encre à l’alcool, ou de l’aquarelle, sur du papier épais en fibres de coton, pour des tableaux de petites ou de dimensions moyennes mais parfois en rouleaux de grand format, la peinture numérique, par exemple sur de grandes plaques métalliques, est aussi utilisée comme médium de création pour l’édition d’œuvres originales.
Peinture
Peintures à l’encre et à l’aquarelle sur papier naturel, sur des papiers à fort grammage à base de coton et au grain torchon, les techniques utilisées pour la création d’œuvres uniques vont du dessin au pinceau pour l’aquarelle à l’usage de différents types d’encres, encre de Chine et encre à l’alcool, choisie pour la qualité et la luminosité de ses pigments ainsi que pour la fluidité de sa répartition sur le support. La peinture acrylique et la feuille d’or sont aussi ponctuellement utilisées.
Les tableaux sont présentés dans des encadrements de type caisse américaine sobre, minimale et épurée ou marouflés sur une boîte en bois peint qui forme un cadre large et épais. La toile sur châssis et le Dibond (matériau composite fabriqué à partir d’une plaque de polyéthylène thermoliée à deux plaques d’aluminium brossé), avec châssis de fixation rentrant en aluminium, servent parfois de support à des œuvres peintes à l’acrylique.
Art numérique
Art numérique également appelé art digital par anglicisme, œuvres numériques où s’entremêlent dessins numérisés et dessins à main levée via tablette graphique, assemblages, montages et dessins vectoriels, de grandes imprimantes sur table avec procédé d’impression UV à plat sur des supports rigides permettent l’impression sur des plaques métallisées en aluminium de type Dibond sont utilisées.
Les tirages sont signés et numérotés allant parfois jusqu’à huit exemplaires (œuvres originales numérotées de 1 à 8/8), et quatre épreuves d’artistes au maximum (ou « EA » numérotées de I à IV/IV), avec ajout de motifs et d’éléments peints avant la pose d’un vernis à l’étuve. Il est aussi procédé à la réalisation d’œuvres uniques.
Des reproductions sur papier, à tirage très limité, signées et numérotées sont également présentées.
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